KAILUA Vanilli.

PRESENTATION DE KAILUA VANILLI ♥
« Doux charme et belle insolence, j'assume. »

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NOM : Kailua Vanilli

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SEXE : Jument

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AGE : 3 ans

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RACE : Pur sang arabe

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ROBE : Bai clair

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PRINCIPAUX TRAITS DE CARACTERE :
Prunelles insolentes et sourire en coin. J’assume mes responsabilités. Charmer à tout prix, pourquoi pas ? Love me, fool me. Se lever de bon matin, le sourire aux lèvres, penser à sa croustillante journée, c’est si bon. Mais…Si on parle toujours des pestes de façon dénigrante, rabaissante, et qu’on les traite de pauvres créatures, alors je suis une demi-peste. Voir, une « pas peste du tout ». Moi, j’ai su conserver mon fond de douceur, et quand on parle de moi, c’est toujours gentiment. Même mes ennemis m’adorent. Je suis sûre de moi, et alors ? J’ai au moins la capacité à toujours faire paraître le meilleur de moi-même, de faire disparaître mes petits défauts, et toujours avec douceur et gentillesse. Je suis hypocrite, c’est certain. Mais c’est juste pour ne pas blesser l’être qui se trouve en face de moi, ou même à des kilomètres. Je ne manipule pas, je ne trahis jamais. Je suis une menteuse, certes, mais pour le bien de tout le monde. Après tout, être franc, à quoi ça sert ? A briser des gens, à vexer sans relâche ceux qu’on aime… J’ai choisi mon mode de vie, stop. Point à la ligne.

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HISTOIRE : Il était une fois, Oahu, ses fleurs, ses plages, ses palmiers… Et ses chevaux.
Je suis née au beau milieu de l’archipel des îles d’Hawaii. Un superbe territoire de tranquillité, d’air frais et de douceurs diverses. J’avais pour berceau une petite île attenante, emplie de verdure, avec en son plein centre un petit ruisseau d’eau douce aux couleurs turquoises. De nombreux gens venaient me voir, me lançant diverses friandises et autres mets. Autant vous dire que je n’étais vraiment pas malheureuse.
Il y a des chevaux qui passent toute leur vie dans un même lieu, tranquilles. Ils ne voient peut être pas le monde, mais au moins, ils peuvent se vanter de ne jamais avoir eu à subir les colères du destin. Moi, je voulais appartenir à cette classe de chevaux. Je n’aurais rien eu à raconter plus tard, mais cette tranquillité me convenait parfaitement. Hé bien, raté. Un jour d’automne, alors que je broutais tranquillement les dernières feuilles des arbres, deux hommes sont venus me voir. L’un des hommes était habillé tout de noir, tandis que l’autre portait un turban et avait pour vêtement un long drap à motifs. Moi, de mon coin tranquille, je les observais, trottant et galopant de droite à gauche avec mon air farouche, rien que pour les impressionner. Je n’aurais peut être pas dû jouer de mes belles allures à ce moment précis. Les hommes sont revenus quelques jours plus tard. Cette fois, ils se sont beaucoup rapprochés. Après quelques minutes de cavalcade, ils ont réussi à m’attraper, et à me tirer dans un véhicule fermé et long. Un van, selon les hommes. Je suis restée longtemps dans cette boîte, dans le noir, et je n’avais pour me consoler qu’un filet à foin et deux mangeoires remplies de granulés.
Quelques heures plus tard.
A travers « ma boîte », je sentais une odeur iodée et salée me parcourir les naseaux. La mer ! J’entendais les vagues frapper contre le sable, et le bruissement de l’écume. Les hommes sont venus ouvrir la porte de ma boîte, et m’ont fait sortir, me tendant gauchement une carotte en guise de récompense (Mais, qu’avais-je fait pour la mériter ?). Ils m’ont à nouveau fait rentrer dans une boîte, cette fois-ci beaucoup plus grande, un « bateau » je crois. J’ai à nouveau fait un bout de voyage, mais ce moyen de transport était, à la différence de l’autre, très mouvant. Avec moi, il y avait d’autres chevaux, eux étaient emmitouflés dans de nombreuses couvertures et portaient de curieuses protections aux membres. Ils avaient au moins un point commun avec moi : Ils avaient de l’inquiétude dans les yeux.
J’avais un drôle de pressentiment. Je sentais que quelque chose allait arriver, mais quoi ?
Je n’eus pas le temps de réfléchir un peu plus, car une douce torpeur m’envahit. Tout était noir, et je me suis affaissée sur le sol de la cale.
Le feu…
Tout était flou autour de moi. Il y avait du mouvement, tous les chevaux s’agitaient, j’étais encore allongée sur le sol devenu brûlant, et de hautes flammes caressaient les fenêtres de notre cale. Tout était fichu. Et puis, j’ai senti quelque chose me tirer. Dans un dernier effort, j’ai tenté de me lever, mais rien. Encore une fois, le noir m’a envahie, contre ma volonté.
Le roulis des vagues est venu me réveiller. J’ai doucement ouvert les yeux, et j’ai distingué fébrilement une silhouette noire et blanche. Un bel étalon. Il m’observait, un léger sourire aux lèvres. Je ne savais pas pourquoi, mais ce sourire n’avait rien de bon, il semblait renfermer autre chose que de la gentillesse. Fermement, il m’a intimé de le suivre, ce que j’ai fait. Mais je n’avais pas vraiment envie, je voulais rentrer dans mon île, rentrer chez moi. Nous nous sommes arrêtés le long d’une falaise, pour se réchauffer et passer la nuit. Nous avons discuté, fait connaissance. Il s’appelait Hasting. Je lui faisais de plus en plus confiance. Doucement je me suis endormie, me reposant de toutes mes émotions. Le lendemain, le ton du beau bai était devenu brusque, autoritaire, mais ironique. Il m’avait demandé de le suivre, encore une fois. Je n’ai pas bronché, j’avais confiance. Et puis, il à commencé à me tourner autour, à me mordiller en n’omettant aucune partie du corps. Il devenait brusque, me plaquant contre les arbres. Et il s’est soulevé, déposant sans douceur son corps sur le mien. Mon corps tremblait, j’étais totalement soumise à lui. Je n’avais pas le choix. Mais où était passée Kailua Vanilli, la jument audacieuse et insolente ? Le mâle bicolore allait commencer son travail, quand soudain, des pas rapides se firent entendre. Un mâle sombre sauta littéralement sur Hasting, le faisant tomber à terre. Ils se frappaient de leurs sabots, se mordaient, s’écorchaient la peau. Quelques effluves de sang jaillissaient au sol. Moi, toujours tremblante, j’observais la scène. Aucun des deux ne prenait le dessus, leurs forces étaient égales. Au bout de plusieurs minutes de combat sanglant, la lutte s’arrêta d’un commun accord. Tous deux se relevèrent, très amochés physiquement. Hasting partit, tandis que l’étalon noir vint avec douceur vers moi, en me murmurant son nom. « Hollyburn Crash ». « Kailua Vanilli. Merci… » lui dis-je en retour. Nous avons parcouru plusieurs kilomètres ensemble, arrivant tous les deux aux terres de Secret War. Une fois là bas, nos chemins se sont séparés. Pour se souder à nouveau, peut être.

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PUF : Evergreen

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CODES : : |Ok par Horsy =)

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APPRECIATIONS : Un design pétillant et très sympa, une histoire et un concept prenants, Secret War à de beaux jours devant lui =D.

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AUTRE : Mais bon sang, jouez des mâles, on va se retrouver à deux juments par étalon KAILUA Vanilli. 168930